"Il n' y a qu'une seule supériorité: celle du coeur !"

Témoignage écrit de Christian Rougeaux.

Psychothérapie de Joe Finder.

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Témoignage écrit de Jean Daniel Katz

Psychothérapie, "La santé par le cri".

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Témoignage écrit de Patrice Lebon.

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UNE AMIE TEMOIGNE : CLARA CANDIANI

En trente-trois ans d’existence, le foyer de Vitry avait acquis une réputation “quasi-internationale”. De nombreux visiteurs sont venus vérifier que l’utopie d’une rééducation non répressive était possible, que des adolescents réputés “irrécupérables” n’aspiraient qu’à être heureux et aimés et partant, parfaitement sociables.

C’est ainsi que Joe FINDER, son équipe et les garçons de plusieurs générations de pensionnaires, ont reçu la visite de dizaines de hauts magistrats, d’hommes politiques, de ministres, de gens de lettres, de médecins pédopsychiatres, d’artistes de toutes disciplines (théâtre, cinéma, radio et télévision, peintres et musiciens). Des médecins en cours de formation ont consacré leur thèse à ce foyer et Joe Finder a formé des dizaines d’éducateurs-stagiaires.

Tous ces visiteurs sont repartis avec une forte impression, toujours positive. Aucun n’a eu à déplorer la disparition d’objets de valeur, de son portefeuille ou de son sac à main. Par contre ils semblaient dire qu’ils partaient plus riches qu’avant.

C’est pourquoi certains témoignages sont empreints d’une partialité qui peut sembler exagérée, ils sont le reflet de l’émotion de la rencontre.

C’est le cas de Clara CANDIANI, journaliste animatrice de l’émission “Des français aident des Français” sur France Inter, qui jusqu’à la fin est restée une amie fidèle et inconditionnelle du foyer de Vitry et de joe FINDER.

Comme tous les amis, elle n’a retenu de son passage au foyer que ses qualités et ses réussites, en oubliant ses travers, ses hésitations et ses ratés... Pardonnez ce parti-pris. En 1983, elle  participait à un film reportage du CFDJ intitulé : “C’était à Vitry...”  Extraits (poèmes des jeunes du foyer).

1983, à la demande de son C.A, le Foyer de Vitry fermait.   (voir article “La fin du CFDJ de Vitry”), en bon capitaine Joe Finder quittait le dernier la rue Langlois, une fois le dernier jeune réplacé dans un autre établissement.	Il est alors hébergé par un ancien dans une de cité de transit de Meaux, c’est là que Clara Candiani vient à nouveau à sa rencontre.  Quelque mois plus tard , une suite heureuse avec la création du Foyer du Plessis-Trévise .