"Il n' y a qu'une seule supériorité: celle du coeur !"

L.V. Beethoven



Des hommes des femmes ont consacré leur vie à comprendre, à aimer, à réparer de jeunes personnalités blessées, loin du système répressif et carcéral et ont permis à des centaines de jeunes de se reconstruire jour après jour. 


Aujourd'hui, ces "dangereux délinquants juvéniles" sont pères, mères de familles , ils travaillent comme des citoyens ordinaires, ouvriers, cadres, parfois enseignants et même éducateurs à leur tour.

Interview de Jean Chazal par l'atelier radio

 du Foyer de Vitry (1962, archives ACFDJ)


Ce site témoigne de cette chance qui leur a été donnée grâce à deux foyers dits de « semi-liberté » où toutes les portes étaient ouvertes, grâce auxquels ils ont pu reprendre une scolarité ou commencer une vie professionnelle avec toutes les chances de réussite.

Les foyers de Vitry et du Plessis-Trévise, aujourd'hui fermés, ont eu naguère une grande notoriété dans le monde éducatif et ont été cités en exemple. La personnalité de ceux qui les ont animés y est pour beaucoup. Leur expérience reste précieuse et actuelle. Nous vous proposons de la découvrir dans ce site et de vous en servir pour les adolescents que vous avez pris en charge. Ou pour vous débarrasser de certaines idées toutes faites...  





 

Extrait de "Mémoire de Sauvageons" 

de S. Gilman et P. De Lestrade



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